Ce que je fais, ce n'est pas de la narration ni du sentimentalisme, je suis -ontologiquement & dynamiquement parlant- le mouvement de l'écriture, rien de plus.
De tout ce qui est écrit, je ne lis que ce que quelqu'un écrit avec son sang. Ecris avec ton sang : et tu verras que le sang est esprit. Celui qui connait le lecteur, celui-là ne fait plus rien pour le lecteur. Encore un siècle de lecteur et l'esprit lui-même va se mettre à puer. Que tout un chacun ait le droit d'apprendre à lire voilà qui à la longue va gâter non seulement l'écriture mais aussi la pensée.