Nue comme une ombre.
Son odeur de tulipe.
Sur l'arbre de notre enfance, je graverai nos prénoms.
Je te regarderai m'oublier.
Je te l'ai déjà dit; dévisage moi, trompe moi.
Choisis n'importe qui.
J'aime tellement te haïr.
De tout ce qui est écrit, je ne lis que ce que quelqu'un écrit avec son sang. Ecris avec ton sang : et tu verras que le sang est esprit. Celui qui connait le lecteur, celui-là ne fait plus rien pour le lecteur. Encore un siècle de lecteur et l'esprit lui-même va se mettre à puer. Que tout un chacun ait le droit d'apprendre à lire voilà qui à la longue va gâter non seulement l'écriture mais aussi la pensée.